Il n’est plus un secret de polichinelle que les jeunes ont une sexualité très active. Certains profitent de cette vie pleinement en faisant recours aux méthodes contraceptives par contre d’autres en sont complètement hostile. Qu’est-ce qui peut bien expliquer cet état de chose ?
Le manque d’informations
Préservatifs, pilules, implants etc. Certains jeunes ont tôt fait de vite s’enquérir des moyens à utiliser pour échapper aux maladies sexuellement transmissibles par contre d’autres n’y ont prêté aucune attention ou en ont fait une mauvaise expérience. Dans le second cas, beaucoup d’IST et de grossesses non désirés résultent d’une mauvaise utilisation des méthodes contraceptives. Ceci engendre une réticence chez ces derniers. Deux jeunes sur cinq ont fait un usage erroné des méthodes contraceptives selon une étude en France. C’est souvent des cas de jeunes qui ont mal placé un condom ou qui n’ont pas pris régulièrement la pilule après un rapport sexuel. Un devoir d’information s’impose donc de la part du ministère de la santé et des organisations en charge de la santé sexuel des jeunes.
L’incertitude
Bien que les méthodes contraceptives restent un sujet à polémique, les jeunes hésitent de plus en plus à les utilises. Certains les jugent même d’inefficace. La pilule par exemple ne garantit pas pour des jeunes la prévention d’une grossesse. Pour eux, le risque est bien présent. De toute façon chacun se fait da petite idée de la chose. Ce qui pourrait constituer aussi un frein à l’usage des méthodes contraceptives, c’est bien la croyance religieuse de certains jeunes qui s’y oppose catégoriquement. Par conséquent, les jeunes sont de plus en plus exposés aux risques des maladies sexuellement transmissibles et des grossesses non désirés qui font accroître le taux d’avortement. Chacun devrait faire preuve de jugeote sur la question car la santé n’a pas de prix.